Des clics politiques et des décryptages

Les relations entre les sections locales des partis politiques et les journalistes sont d’ordinaire plutôt cordiales. D’ordinaire, car en période électorale, elles ont tendance à se tendre. Chaque parti a le sentiment que la presse favorise le camp d’en face. Du coup, les journalistes se font engueuler par tout le monde. Et après le deuxième tour, c’est oublié.

Marc-Philippe Daubresse, débarqué de son poste de ministre à l’occasion du dernier remaniement, était passé du gouvernement à la tête de l’UMP. Devenu « numéro 2 » du parti de la majorité présidentielle, il semble avoir un peu de mal à se faire une place. D’autant que les médias nationaux ne cessent de l'épingler, qu’il parle trop, ou pas assez...

Un mouvement identitaire qui appelle à en boycotter un autre, c’est à n’y rien comprendre.