Les relations entre les sections locales des partis politiques et les journalistes sont d’ordinaire plutôt cordiales. D’ordinaire, car en période électorale, elles ont tendance à se tendre. Chaque parti a le sentiment que la presse favorise le camp d’en face. Du coup, les journalistes se font engueuler par tout le monde. Et après le deuxième tour, c’est oublié.